Taverne

Dans la salle principale de la taverne où tout le monde était occupé à boire, à rêver de puissance et à comparer leur puissance, arme au poing, un portail de feu apparut. Au centre de ce portail, il était possible de voir l'enfer prendre forme. Il y avait une foule de gens bigarré, aux visages difformes et aux membres grossiers. Les plus gros frappaient les plus petits, les faisant travailler. C'était le règne de la puissance et du chaos.

Sur la passerelle d'ivoire qui menait au portail, un être affreux et magnifique tout à la fois, s'approcha lentement. Il grimaçait, ses yeux brillaient de victoires inachevées et d'histoires à raconter. Il était immense. Plus il se rapprochait, et plus le portail semblait trop petit pour lui. Et pourtant, il le franchit sans encombre et apparut en chair et en os dans la taverne. Le portail se referma aussitôt, coupant en deux un démon-grenouille qui voulait s'échapper des flammes de la rédemption.

L'être semblait sortir tout droit d'un cauchemar. Il n'était ni beau, ni laid, il était tout simplement. Il était majestueux avec ses ailes blanches comme celle d'un cygne. Il était ténébreux avec ses yeux enflammés et ses cornes aux fronts. Il était impossant avec ses muscles crispés. Il était apeurant avec ses doigts couverts de sang et de chair en putréfaction. Il était Diablotin, le seigneur de Diae, royaume de l'enfer. Il était mi-ange et mi-démon. Il pouvait être charitable avec ses amis et impitoyable avec ses ennemis.

En cette soirée de fête, il se sentait aimable. La chasse avait été bonne. De nouvelles victimes brûlaient dans les flammes de son royaume. Il s'assit dans un coin sombre et observa le combat de Nalec et de Nasgour intrigué par l'issu de la joute.

Le Parjure commencait à s ennuyer, aucun ne prenait ne dessus. Il scruta la pièce à la recherche de Yureka. Elle l avait appelé et pourtant elle n était pas là. Ce n était pas la peine de s inquiéter, elle allait revenir et si il lui arrivait quelquechose, elle savait se défendre.

Beau combat Nalec et Nasgour. Très bonnes techniques et beaucoup d'ardeur pour un simple divertissement. cracha Diablotin entre ses dents acérés.

J'ai fait la connaissance avec votre coursier qui m'a invité à me joindre à vous. Chose que j'ai fait sans hésiter. Maintenant j'aimerais apprendre à connaître l'homme avec qui je vais partager le champ de bataille et la victoire. Viens prendre un verre et panser tes blessures, toi aussi Nasgour. J'ai apporter un excellent cru de mes terres, fais avec le meilleur sang qui soit. Venez goûter. Et nous parlerons comme seul de vieux amis savent le faire.

Suite à ces mots, Diablotin se courba légèrement avant de se reassoir sur sa chaise. Il semblait épuisé. Il n'était pas un habitué des paroles. Cela l'énervait et le fatiguait. Il pencha la tête vers l'avant, elle était lourde de fatigue.

Sa langue siffla pourtant encore une fois. Veuillez pardonner mon apparence et mon manque de civisme. Mais je suis d'où je viens et qui je suis. Ne vous fiez pas à mon apparence pour juger de ma valeur. Je suis le fils d'un arch-ange et d'une succube. Je suis l'union du bien et du mal, du beau et du laid, du fort et du faible. Je suis un rénégat autant en enfer qu'au paradis. Voilà pourquoi je suis ici sur ces terres encore sauvages.

Aprés quelques marches montait, Arthur entendis un bruit sourd, comme une personne etant tomber au sol. Il se demandat en quelques seconde qui sa pourrait-etre.
"Nasgour ?, non il auraient tous rigolé, Nalec, non il auraient tous eut peur. Non mais c'est bon, j'ai du réver !
Il montat trois marche est entendit le rénégat naziller.D'un tréssaillement, Arthur s'esclamat : Nalec ! il courut j'usqu'à la taverne vit Nalec debout avec sont épée en main, il tournat la tête vers l'entrée vit le rénégat acroupit auprés de Yureka.

Arthur arrivat au prés d'elle, évanouie, visage apeuré, elle avait ressentit un grand mal. Il se retournat vers diablotin et lui demandit:
Qu'as tu fais ?
Qu'es-ce qui c'est passé ?
Dit moi !"
Le rénégat de compris les assaut de question de l'elfe. Arthur avait bien vu que diablotin était pour rien.
Il se mit parlé a Yureka sans arrêt, ce fut en vint, elle ne bougeat pas une paupières, ni une lèvres, mais Arthur le gros ne perdit espoir et continuait sans cesse tout en la secouant.

La jolie créature aux cheveux azur surpris Diablotin. Il ne s'attendait pas à la voir ici, dans cette taverne de guerrier. Ce n'était pas possible.

Il se souvenait, un jour, dans son enfance. Un jour mémorable. Juste après que sa mère fut tué par son mari, un démon d'une grande puissance et d'une grande jalousie. Il lui avait cassé les os un à un, arraché les ailes et les cornes et tout cela devant Diablotin, l'accusant d'être la cause de toutes les souffrances.

Diablotin n'avait pu la protéger. Il s'était enfui comme un lâche. C'est vrai qu'un enfant clopinant ne pouvait rien face à un démon, mais encore.... Jamais il ne se l'était pardonné.

C'est ainsi qu'il avait rencontré Yureka. Dans sa fuite, il s'était dirigé vers un village elfe. Ce ne pouvait être que le pire endroit pour un être de son espèce, mais pourtant le seigneur du royaume lui avait offert l'hospitalité d'une journée. C'est là qu'il avait vu Yureka. Elle était jeune mais déjà dangereusement jolie. Et pourtant, malgré sa puissante magie, Yureka avait eu peur de Diablotin et celui-ci, en sauvage qu'il était, s'était sauvé du domaine elfe sans dire merci.

Et aujourd'hui que ces deux êtres si étranges se rencontrent et qu'encore une fois Yureka perdent souffrent à cause de lui, s'en était trop. Diablotin se leva, traversa la salle et sauta au dehors de la taverne. Ses ailes s'ouvrir, cachant du coup le soleil, et il prit son envol. Avant que personne ne puisse rien dire, il était déjà au loin.

Seul restait comme preuve de son passage, le corps décapité d'un démon-grenouille et une plume blanche au bout calciné.

Zamormess entra dans la taverne apres avoir reparé sa hache a la forge.
lorsqu'il entra dans la taverne tous le monde semblait tourné vers un endroit.
Zamormess du haut de son metre quarante ne pouvais le voir.
Il s'adressa donc au tevernir.

Bonsoir. Tavernier une bierre blanche si te plait.

Le tavernier semblait un peut préoccupé.
Oui.... tout de suite.

que c'est il passé? Zamormess s'interogeat.

Arthur était en sueur, il demandat a tous les membres de s'écarter, un cercle de 5 metres d'envergure se fit autour des 3 personnes.
Arthur dit a Nalec :
"Dit moi se que je doit faire Nalec !
Il regardat Nalec deux, trois fois, en vint. Nalec reprenait sont soufle a chaque instant.
Arthur pris ses jambes a sont cou et dit :
Nalec sa va peut-etre pas lui plaire, mais si sa peut l'aider.
Nalec le regardait faire avec beaucoup d'étonnement. Arthur enlevé la méche de cheveux bleuté de sa bouche, il posat deux doigt sous le mentont, inclinat la tête vers le haut, se penchat est entamat une ventillation artifficielle. au bout d'une longue seconde, Arthur se retirat pour écouter son soufle, Yureka se réveillat est déclenchat un giffle à Arthur croyant qu'il profitez d'elle.

Tous les membres de la taverne heureux du retour de Yureka, chambraient Arthur de cette giffle.
Yureka choqué d'avoir ressentit tant de mal, se jettat dans les bras de Nalec et Arthur afin de les enlacés.Nalec avait encore plus mal vue la force que méttait Yureka entre ses bras.
Arthur heureux de retrouvait Yureka en forme, lui dit dans le creu de l'oreille :
Tu m'as réellement fais peur Yureka !
Tu peut pas savoir ..."

Yureka dessera l'entreinte qu'elle portait aux deux elfes. une larme luisante et chaude perlant sur une joue.

Je... Je suis désolé... cette... créature... je la connais... c'est si loin... Seulement, c'est pas lui qui a tuer mes parents... mais quelqu'un qui lui ressemble comme de gouttes d'eaux.... Croyant que je penserai que c'était lui, il c'était enfuit, voulant me cosait moins de peine... Il m'a toujurs beaucoup appréciée, pourtant j'ai toujours étais froide est distante avec lui. Mais à sa vue, je ne pue m'empecher ses souvenirs si lointains, que j'avais finalement réussi à enterrés aux plus profond de moi. Il faut qu'il sache que je ne lui en veuille pas....
Comment faire... où est il partit ?

Soudain, l'air de l'exterieur lui donna un frisson. Elle trambla de tout son corps, puis s'aperçut qu'elle n'avait plus sa cape. Là, la magicienne leva sa tête, la vue dans les mains de Nalec, pres de ses pieds puis aperçut le regard de Nalec. Elle connaissait parfaitement les antecendents de se dernier. Elle chopa la cape des mains de l'elfe assassin puis s'empressa de la revetir.
Se mettant debout, elle regarda au loin espérant voir Diablotin.

Reviens...

elle ignora totalement ses deux amis elfes et le monde de la taverne...

Zamormess vu la charmante Yureka qu'il avait deja entrecroisé dans l'ambassade des GDO mais elle semblait tellement perturbée qu'il ne fit meme pas un geste vers elle.
Zamormess s'adressa au tavernier:
Mon brave auriez vous une chambre disponible en ce moment?
Le tavernier repondit
Et bien oui la 28.
Notre ambassadrice n(est t'elle pas ravissante?

Zamormess regarda le tavernier sceptique.
Il est vrai qu'elle est charmante mais ses fonctions sont tres prenante. Surtout elle est tres respectée.
Je ne vois pas où vous voulais en venir tavernier?

L'aube se levait doucement et le soleil chassait la pénombre de la nuit. Diablotin marchait depuis des heures. Il était seul. Après s'être entrainé avec ses soldats, il avait quitté Diae. Il traversa quelques villages abandonnés et quelques autres où il se senti épié par quelques fantômes trop effrayés pour se montrer le bout du nez.

C'est dans un de ces villages, qu'il aperçu une affiche avec un visage qu'il lui était familier. C'était quelqu'un qu'il avait vu à l'auberge, quelqu'un de sa tribu. Il était recherché mort ou vif par quelques ivrognes. Diablotin trouva cela bien étrange, mais il poursuit son chemin en direction de l'auberge.

Après une longue journée de marche et de mésaventures, Diablotin arriva face à la taverne de sa tribu. Il était faitugé, épuisé. Il avait marché sans arrêt. Cela lui avait permis de s'éclaircir les idées. Verser le sang lui avait également permis de relaxer. Il s'arrêta à quelques mètres de la porte. Des mouvements de vie en sortaient par la porte entrebaîllée et les fenêtres.

Il ne pouvait y rentrer, sans invitation, pas comme la dernière fois. Pas après s'être sauvé comme un sauvage. Il était un sauvage. Surtout après ce qu'il avait fait. Il avait encore tué. Encore. Toujours. Il s'arrêta et s'assit sur une pierre. Il était dans l'ombre d'un arbre. Son sans s'égouttait lentement de ses meurtrissures. En baissant la tête, il pensa "Pourquoi suis-je différent? Pourquoi dois-je me battre partout où je vais? Pourquoi?"

Le bruit des réjouissances, des verres qui s'entre-choquent, des cris de joies et de bonheur emplissaient l'air autour de Diablotin et rendaient son corps lourd de tristesse. Comme la vie semblait simple lorsqu'on était d'une origine facile, pensa-t-il.

Il sortit un globe de verre d'un petit sac qu'il portait à la ceinture. D'un mot, KRILAQRC, il activa cette sphère qui s'éleva devant lui. Elle s'illumina. Diablotin porta son attention sur celle-ci. Son regard était méconnaissable. Ses traits étaient mélancoliques. Tous ses muscles se reposaient, il était en transe.